Jacques Elbaz expose, sur quatre mois et en deux volets successifs, un ensemble d’œuvres majeures (1974-2000) du trop méconnu Jean-Pierre Pincemin (1944-2005), plasticien à l’aise aussi bien dans l’abstraction que dans la figuration. On circule ici allègrement entre les toiles abstraites des années 1960-1970, labellisées Supports-Surfaces, et ses figurations serpentines des années 1980-1990, librement inspirées par les enluminures médiévales et les estampes japonaises. Le tout démontre admirablement le vaste champ d’expérimentation de cet artiste inclassable.
Galerie Jacques Elbaz, 1, rue d’Alger, Paris-1er, jusqu’au 28 janvier 2012.
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Pincemin
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°640 du 1 novembre 2011, avec le titre suivant : Pincemin