Pharmakon : ce mot grec, qui a donné « pharmacie », signifie à la fois le remède et le poison.
Grâce au dépôt d’un ensemble remarquable de faïences d’apothicairerie montpelliéraines par un collectionneur passionné, Jacques Bousquet, le Musée Fabre redonne vie à l’univers à la fois réconfortant et inquiétant des apothicaires et met en lumière leur rôle dans la ville, du Moyen Âge au XVIIIe siècle. On se cultive, on s’amuse, on se réjouit de découvrir des objets étonnants aux noms délicieux, comme « pot de montre » ou « chevrette ».
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Cet article a été publié dans L'ŒIL
n°745 du 1 juillet 2021, avec le titre suivant : Pharmacopées