Peintures, dessins, sculptures en verre soufflé, pièces textiles, céramiques… voici une occasion de découvrir le travail très incarné de cet artiste sarde installé en France, à travers plus d’une centaine d’œuvres, pour la plupart récentes.
L’occasion aussi de revoir son installation
Janas Code,
exposée en 2016 à la Biennale de Venise, tentative de restitution imaginaire d’un site archéologique. L’histoire, la mémoire, la mythologie nourrissent cette démarche qui s’ancre dans l’anthropologie.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Michele Ciacciofera
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €« Michele Ciacciofera. Sans commencement et sans fin »,
Musée d’art contemporain de la Haute-Vienne, château de Rochechouart, Rochechouart (87), www.musee-rochechouart.com
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°745 du 1 juillet 2021, avec le titre suivant : Michele Ciacciofera
