Et si Marc Petit (né en 1961) était l’un des grands sculpteurs de la figure actuels ? Il serait reconnu par les institutions nationales.
Et si ces institutions tardaient à le faire ? C’est la question que l’on se pose en sortant de son exposition à l’Abbaye d’Auberive. Dix ans après la rétrospective de l’artiste, cette abbaye cistercienne du XIIe siècle, devenue prison – Louise Michel y fut détenue au XIXe – puis centre d’art privé géré par la famille Volot, présente le travail récent de Marc Petit : 120 dessins et 260 sculptures disposés dans le parc et les salles du monument, dont 13 étonnantes gargouilles inspirées par le lieu. Marc Petit n’a pas rompu avec son travail, qui reste reconnaissable entre mille ; un travail qui semble surgir des millénaires pour dire le vivant dans ce qu’il a de plus tendre et de plus violent à la fois.
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« Marc Petit, Une décennie »,
Abbaye d’Auberive, 1, place de l’Abbaye, Auberive (52),
abbaye-auberive.com
Cet article a été publié dans L'ŒIL
n°745 du 1 juillet 2021, avec le titre suivant : Marc Petit, une décennie