Les plus grands artistes de la Renaissance ont dédié leur talent aux dieux de l’Olympe, séduisant par leurs actes de bravoure ou leurs péripéties amoureuses. La richesse inventive des récits mythologiques en faisait une source d’inspiration pour les artistes qui y puisaient des héros polymorphes, d’apparence humaine ou animale au gré de leurs métamorphoses. L’excentricité de leurs rapports amoureux hétéro ou homosexuels ainsi que leur stature d’athlètes ne pouvait que convenir à la célébration des jeux olympiques gay d’Amsterdam qui coïncident aujourd’hui avec cette exposition.
AMSTERDAM, Rijksmuseum, 18 juillet-16 août.
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L’Olympe était-il gay ?
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°498 du 1 juillet 1998, avec le titre suivant : L’Olympe était-il gay ?