L’enthousiasme de Picasso pour la tauromachie se ravive à son retour en Méditerranée. À Vallauris, il transforme une série de plats ovales en représentations tauromachiques.
Lorsqu’il revient à Céret, en 1953, il fait don d’une collection de céramiques uniques au musée, dont une série de coupelles consacrées au thème de la corrida. Elles montrent tous les aspects de la tauromachie : la foule hors de l’arène, le cérémonial d’entrée des toreros, des chevaux et du taureau, etc. Autour de cet ensemble rarissime présenté pour la première fois dans son intégralité, l’exposition montre un nombre d’œuvres qui, de Goya à Barceló, témoigne de la fascination des artistes pour la tauromachie.
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Le peintre et l’arène
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Abonnez-vous dès 1 €Musée de Céret, square Georges-Auric, Céret (34), www.musee-ceret.com
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°670 du 1 juillet 2014, avec le titre suivant : Le peintre et l’arène