Gilles Caron a photographié nombre de conflits entre 1967 et 1970 avant de disparaître au Cambodge, à l’âge de 30 ans.
Les lettres du jeune reporter envoyées à sa mère forment un témoignage bouleversant où le fils confie ce qu’il affronte, ses doutes et ses convictions face à ce « monde imparfait et ennuyeux » où « jouer un rôle, c’est prendre son siècle en main, en être imprégné tout entier ». Comment se situer dans ce monde quand on est un jeune photoreporter ? Telle est la question posée par cette monographie, qui n’est pas sans écho avec la couverture des conflits actuels.
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« Gilles Caron. Un monde imparfait »,
Le Point du jour, Centre d’art/Éditeur, 107, avenue de Paris, Cherbourg-en-Cotentin (50),
www.lepointdujour.eu
Cet article a été publié dans L'ŒIL
n°745 du 1 juillet 2021, avec le titre suivant : Gilles Caron