Ils ont tutoyé la mort. Pris dans la folie des violences des adultes, guerres ou crimes de masse, les enfants dont le Mucem expose les dessins ont pris leurs crayons pour raconter le mal et les règles de la vie commune – faire le bien, prendre soin des autres – qui volent en éclats.
Aux quelque 150 dessins, qui donnent à voir la douleur des enfants, de la Grande Guerre aux conflits contemporains, répond l’artiste invité Enki Bilal, compagnon du projet de l’exposition depuis ses débuts.
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« Déflagrations. Dessins d’enfants et violences de masse »,
Mucem, 1, esplanade J4, Marseille (13),
www.mucem.org
Cet article a été publié dans L'ŒIL
n°745 du 1 juillet 2021, avec le titre suivant : Déflagrations