NANTES
Désormais installée à Los Angeles, l’artiste française a utilisé des voiles de navires récupérées dans un port californien comme support de peinture.
Des silhouettes humaines, figurées sur les voiles suspendues, flottent dans un univers incertain, et quelques-unes émergent du tumulte sous forme de sculptures. Accompagnée d’une composition sonore réalisée par des musiciens invités, l’installation devient immersive. La mer, sa quiétude et ses remous servent de métaphores aux relations amoureuses.
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°725 du 1 juillet 2019, avec le titre suivant : Claire Tabouret