La commissaire a sélectionné une cinquantaine d’estampes parmi la donation de cinq cents pièces que le peintre argentin, installé en France depuis plus de cinquante ans, a fait à la Bibliothèque nationale de France.
Suivant un parcours chronologique, l’exposition éclaire les évolutions techniques et stylistiques d’Antonio Seguí. Virtuose et prolifique, celui-ci explore les potentialités de la lithographie, de la gravure ou encore de la lithographie, pour créer un univers graphique singulier mêlant satire et nostalgie.
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°725 du 1 juillet 2019, avec le titre suivant : Antonio Seguí