Quelque chose de paradoxal est à l’œuvre dans la sculpture d’Anita Molinero dont sa prestation aux Sables-d’Olonne est une parfaite illustration.
D’un principe de destruction fondé sur des protocoles qui en appellent à la découpe, à la brûlure ou à la liquéfaction des matériaux plastiques qu’elle emploie, l’artiste déduit des œuvres d’une troublante beauté. Tout y est d’un chaos comme à un moment supposé d’origine où le grotesque tutoie le sublime. D’une aventure de création en ses prolégomènes.
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Anita Molinero - Musée de l'abbaye Sainte-Croix
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Cet article a été publié dans L'ŒIL n°703 du 1 juillet 2017, avec le titre suivant : Anita Molinero - Musée de l'abbaye Sainte-Croix