Son séjour à Ostende (Belgique) en 1946 est décisif pour Édouard Pignon. Il choisit de se détacher du groupe de la « Jeune peinture » auquel les critiques le rattachent pour adopter une figuration libre et indépendante.
Les figures de marins qu’il représente semblent se perdre dans les grandes surfaces colorées des voiles des bateaux. Des paysages portuaires et une ville détruite par la guerre qui contrastent avec Collioure, où il séjourne aussi à la même période, et qui confirment sa nouvelle orientation esthétique.
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Édouard pignon - Musée des beaux-arts de Lyon
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Cet article a été publié dans L'ŒIL n°703 du 1 juillet 2017, avec le titre suivant : Édouard pignon - Musée des beaux-arts de Lyon