Suite à notre article intitulé "Europ Auction se saborde" parut le 20 février 2014 sur www.LeJournaldesArts.fr, Camille Bürgi nous a demandé de publier ce droit de réponse.
Le dernier paragraphe de l'article « Europ Auction se saborde », diffusé sur votre site Internet depuis le 20 février 2014, appelle de ma part les précisions suivantes :
Monsieur Jean LUPU est présenté comme mon partenaire, ce qu'il n'a jamais été. Il est indiqué qu'il aurait déposé une plainte contre l'ancien Président d'Europ Auction, ce qui n'est pas le cas. A ma connaissance, la seule plainte existante a été déposée contre X.
Vous concluez en indiquant que le « marchand », c'est-à-dire moi-même « se retrouve aujourd'hui en grande difficulté ».
Sachez que j'ai été entendu en qualité de témoin dans une affaire où je n'ai en tout état de cause absolument rien à me reprocher.
De manière plus générale, je vous saurais gré de bien vouloir distinguer d'une part Europ Auction, société de vente, et d'autre part Camille BÜRGI, antiquaire. L'arrêt par Europ Auction de son activité est absolument à dissocier de mon commerce d'antiquités et d'objets d'art aux destinées duquel je continue à veiller comme je le fais depuis plus de trente ans.
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Droit de réponse de Camille Bürgi
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