De la carte blanche donnée par le Musée Guimet à Prune Nourry est née une reproduction fragmentée du bouddha géant de la tour du Bayon, temple au centre d’Angkor Vat.
Du pied disposé au rez-de-chaussée et mis en résonance avec la collection d’art khmer à la tête monumentale installée au dernier étage, piquée elle aussi de bâtons d’encens plantés comme des aiguilles d’acupuncture, la fragmentation du corps n’est pas sans renvoyer à la destruction des bouddhas de Bâmiyân en Afghanistan. Les autres créations de l’artiste, placées au sein des collections du musée, forment d’autres contrepoints percutants en lien avec la situation des femmes en Asie.
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Prune Nourry - Musée Guimet
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°703 du 1 juillet 2017, avec le titre suivant : Prune Nourry - Musée Guimet