PARIS - Jonier Marin a commencé à dessiner des points d’interrogation dans l’atmosphère pour les besoins d’une performance à la Biennale de Venise en 1979.
Depuis, il ne démord plus de ce motif, récurrent dans son œuvre, comme en témoigne la galerie Lara Vincy, à Paris, avec son exposition « Stockage ». Et l’artiste se pose bien d’autres questions. Par exemple : où vont les données informatiques quand on les compresse ? et où atterrissent les courriels perdus ? Jonier Marin tente de décrypter l’infini galactique à travers ses peintures et ses collages.
47, rue de Seine, 75006 Paris, tél. 01 43 26 72 51. Jusqu’au 17 juin.
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Points d’interrogation
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°238 du 26 mai 2006, avec le titre suivant : Points d’interrogation