PARIS - Jusqu’au 10 juillet, le boulevard Magenta, à Paris, fête la fin de ses travaux de rénovation en invitant de nombreux artistes.
Tandis que les affiches de Malte Martin délivrent jour après jour d’intrigants messages aux passants, les vitrines des magasins s’animent de nuit avec les vidéos de Blanca Casas Brullet. Tapis rouge pour ce nouvel espace urbain avec l’installation de Marylène Negro, tandis que le slogan d’Ugo Rondinone projeté sur le pont du métro aérien à la station Barbès-Rochechouart « Cry me a river » rappelle étrangement les complaintes d’un certain chanteur pop… Une petite pincée d’art dans le quotidien, ou revoir la ville couleur magenta ?
« Magenta éphémères », boulevard Magenta, de Barbès à République, Paris. Rens. www.paris.fr
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Magenta rouge
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°237 du 12 mai 2006, avec le titre suivant : Magenta rouge