NÎMES - Né en 1959, Peter Doig cultive l’anachronisme avec ferveur. Inscrite dans le courant plus large d’un renouveau de la figuration qui passe par des sources médiatiques, la peinture de l’Écossais se singularise par ses voisinages avec le symbolisme ou l’expressionnisme de Munch, l’usage récurrent du grand format (celui de l’histoire ou du Cinémascope, selon la lecture) et des teintes acides. Réunissant une quinzaine de toiles et huit dessins réalisés entre 1989 et 2002, sa première exposition monographique en France déploie ses paysages étrangement habités par la nostalgie et des sentiments de déjà-vu.
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Les songes de Doig
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°181 du 21 novembre 2003, avec le titre suivant : Les songes de Doig