PARIS - L’appareil photographique de Philip-Lorca DiCorcia sonde avec acuité les désirs hollywoodiens et leurs lendemains qui chantent à travers une série simplement intitulée « Hollywood ». À côté des « Hustlers » – prostituées masculines – présentés simultanément à la galerie Almine Rech, DiCorcia s’est intéressé aux strip-teaseuses qui torsadent le long des « mâts » de cabarets. Une nudité désarmante pour ces rejetées du rêve. Qu’Hollywood ne tienne pas toujours ses promesses n’empêche pas DiCorcia d’en faire surgir l’accablante beauté.
127, rue du Chevaleret, 75013 Paris, tél. 01 45 83 71 90. Jusqu’au 23 juillet.
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Créatures de rêve
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°217 du 10 juin 2005, avec le titre suivant : Créatures de rêve