PARIS - Rien ne va plus au sommet de l’Ensba. Alors qu’un référé de la Cour des comptes rendu public le 3 février avait sévèrement critiqué la gestion de l’École nationale supérieure des beaux-arts de 2001 à 2011, et au-delà, puis qu’un rapport de l’Inspection générale des affaires culturelles eut pointé un problème de gouvernance après la fronde des étudiants consécutive à « l’affaire » Ralph Lauren, c’est maintenant la direction de l’École qui est traversée par de nombreux conflits de personnes. Nicolas Bourriaud a réclamé publiquement le départ de ses deux directeurs adjoints ainsi que celui du président du conseil d’administration. Le ministère, qui a tenté à plusieurs reprises une médiation entre les protagonistes, va devoir trancher.
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Remous à l’École des beaux-arts de Paris
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°415 du 6 juin 2014, avec le titre suivant : Remous à l’École des beaux-arts de Paris