Ukiyo-e - Des reproductions impeccables d’estampes présentées en reliure japonaise, dans un joli coffret : les éditions Citadelles & Mazenod rendent un élégant hommage à l’un des plus grands peintres japonais du XIXe siècle.
Apprécié par les avant-gardes européennes, de Whistler à Van Gogh, pour ses paysages, Hiroshige a su imposer sa singularité de point de vue dans la réalisation des estampes chères à l’époque d’Edo. Si le découpage chronologique des chapitres est classique, c’est le dernier, consacré à la place d’Hiroshige dans l’histoire de l’art qui retient l’attention. Matthi Forrer, conservateur des arts japonais au Musée national d’ethnologie de Leyde, y aborde les rapports de ce peintre avec ses pairs et au-delà. Cette façon de capter l’atmosphère dans ses vues du Japon, comme dans Temps de neige à Asukayama, extrait de la série Huit vues des environs d’Edo, vers 1837-1838, a fait ainsi dire à Pissarro qu’« Hiroshige est un impressionniste merveilleux ».
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Hiroshige, le merveilleux
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°707 du 1 décembre 2017, avec le titre suivant : Hiroshige, le merveilleux