Le leader européen de la vente d’œuvres en ligne épouse l’art de son temps grâce à une approche créative et pragmatique.
S’il y a un bénéfice certain que l’on peut attribuer aux NFT, c’est d’avoir donné un coup de jeune à l’art numérique. Car si l’art digital existe depuis le développement des micro-ordinateurs dans les années 1980, il n’avait pas encore vraiment trouvé son marché jusqu’à récemment. Un signe qui ne trompe pas ? C’était non seulement un art complexe à définir dans sa forme, mais qui en plus n’avait pas de nom officiel. Dans les années 1995, on a commencé à parler de Net Art et le Whitney Museum s’est même empressé d’acheter un site web interactif présenté par son artiste-auteur (Douglas Davis) comme une œuvre d’art, avec une interface qui ferait sourire aujourd’hui.
Le point commun de toutes les œuvres d’art digital est qu’elles intègrent, d'une manière ou d'une autre, des aspects technologiques dans leur processus. Mais le support, lui, peut prendre différentes formes. Il peut s'agir d’une installation aux images hybrides, génératives et interactives, projetées sur grand écran (on parlerait alors d’art virtuel) ou plus simplement d’une image reproduite sur un support papier via une impression digitale.
De nombreux jeunes artistes, attirés par l’effet nouveauté et l’attrait de ces technologies auprès des nouvelles générations nées dans les smartphones et les cryptomonnaies, ont regénéré un art numérique encore peu valorisé. Dans cette effervescence, le pire côtoie le meilleur, et c’est ici qu’une plateforme comme Artsper montre son utilité en choisissant soigneusement des œuvres de qualité et intéressantes pour le marché de l’art.
« Artsper étant une plateforme digitale de mise en relation entre des acheteurs et des vendeurs (galeries et artistes), le numérique fait partie intégrante de notre ADN. Ainsi, les œuvres d’art digital sont présentes depuis la création d’Artsper » explique François-Xavier Trancart, Co-Fondateur et CEO d’Artsper.
Le catalogue d’Artsper compte aujourd’hui un petit millier d’œuvres numériques, principalement des éditions et des photographies. Leur esthétique léchée, qui puise dans l’univers des jeux vidéo ou du web, signale immédiatement leur origine numérique. L’inventivité des artistes, démultipliée par l’accès à des milliards d’images sur le net ou d’outils technologiques est sans limite. « L’art numérique a permis de développer une esthétique particulière, marquée par des cadrages quasiment cinématographiques, des motifs psychédéliques, une imagerie entre le réel et le rêve, ou des sensations de bugs comme dans le Glitch Art » ajoute François-Xavier Trancart. Les frontières entre les disciplines et les médiums sont souvent abolies, en particulier avec la photographie, ce qui permet d’accueillir de grands noms de la discipline, tels Thomas Ruff.
« Les plus grands artistes de l’art contemporain ont également décliné leurs œuvres en éditions grâce au digital. Les éditions, réalisées à partir de l’impression digitale ou d’autres techniques comme la sérigraphie, sont très présentes sur Artsper. En effet, elles offrent la possibilité de faire entrer un grand nom dans sa collection (Matisse, Magritte Klimt, Schiele, Vasarely, Niki de Saint Phalle, Sonia Delaunay…) à moindre coût, ce qui fait écho à l’une de nos valeurs principales : rendre l’art accessible à tous » précise François-Xavier Trancart.
Désormais, en permettant d’attribuer, grâce à la puissance de la blockchain, une unicité à un fichier numérique duplicable à l’infini, les NFT ouvrent un nouveau marché pour l’art numérique visualisable uniquement sur un écran. Pour autant, la plateforme Artsper rappelle les règles élémentaires de prudence. Dans l’un des nombreux contenus éditorialisés qui font la spécificité de l’entreprise créée en 2013, les experts d’Artsper décryptent les tendances mais aussi les risques des NFT, comme la récente dégringolade des cryptomonnaies.
François-Xavier Trancart conclut de façon pragmatique : « De nouveaux supports sont également à l’étude, comme l’art vidéo, les gifs et les NFT, mais il est important pour Artsper de bien encadrer l’arrivée de ces nouveaux médiums sur la plateforme pour répondre aux attentes, mais aussi aux craintes, de nos collectionneurs ».
D’ailleurs Artsper reste très attaché aux objets physiques et vient récemment d’ouvrir son catalogue au design : mobilier, objets décoratifs, luminaires. Comme pour les œuvres d’art, les pièces sélectionnées font l’objet d’une double expertise : celle des galeries d’art qui les proposent, mais aussi celle menée par la plateforme elle-même. En quelques mois, près de 1 200 objets ont rejoint l’offre d’Artsper, allant d’une assiette en porcelaine à 168 € jusqu’à une table en bronze de Reda Amalou à 72 000 € (hors frais de livraison).
Une constante demeure qu’il s’agisse d’une peinture, d’une sculpture, d’art digital ou de design, on peut « l’essayer » gratuitement chez soi pendant 14 jours. L’occasion pour chacun de commencer - ou d’étoffer - sa collection d’art dans les meilleures conditions.
Publi-information réalisée en collaboration avec la plateforme Artsper.com