Londres. L’ancien patron de la maison de ventes qui portait son nom aura dû attendre trois ans que la justice se prononce pour toucher sa commission de 10 millions de dollars sur une vente de tableau.
La vente du tableau de Gauguin Nafea Faa Ipoipo (Quand te maries-tu ?), avait défrayé la chronique, car à l’époque on pensait que l’acheteur qatari l’avait acquis pour une somme record auprès du collectionneur Rudolf Staechelin. Ce dernier refusait de lui verser sa rémunération pour avoir fait office d’intermédiaire. C’est au cours du procès que l’on a appris que le tableau avait été cédé 210 millions de dollars, soit moins qu’annoncé.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Simon de Pury, trois ans pour une modeste commission
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°494 du 2 février 2018, avec le titre suivant : Simon de Pury, trois ans pour une modeste commission