LYON - Presque quinze ans après le lancement du projet, une explosion des coûts et moult revirements, le Musée des Confluences ouvre enfin ses portes à Lyon. L’imposant bâtiment d’inox et de verre imaginé par l’agence autrichienne Coop Himmelb(l)au dévoile une sorte de cabinet de curiosités postmoderne. Ce musée des sciences et des sociétés, héritier du Musée Guimet d’histoire naturelle, conserve en effet des collections hors du commun. Pas moins de deux millions d’objets allant du squelette de dinosaure à l’accélérateur de particules, en passant par l’animal naturalisé et l’armure de samouraï. En quatre séquences, le parcours permanent en présente environ 3 000, narrant l’histoire de l’Homme et de la Terre. Un pari pour des collections « plus agrégatives que complémentaires », comme le reconnaît sa directrice, Hélène Lafont-Couturier. Cette dernière mise sur « des dialogues inattendus pour donner vie à un lieu alliant la connaissance à l’émerveillement ». Le vrai tour de force étant d’éviter la cacophonie : verdict le 20 décembre.
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Les Confluences enfin à flot
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°674 du 1 décembre 2014, avec le titre suivant : Les Confluences enfin à flot