Paris. L’artiste était en conflit avec les époux Di Folco qui l’avaient hébergé de 1996 à 2011 et l’avaient assisté dans la fabrication de près de 800 tableaux.
Ceux-ci revendiquaient la qualité de coauteur considérant qu’ils avaient participé à la création en découpant les châssis, entoilés et marouflés les œuvres. Le tribunal de grande instance les avait déboutés de leurs demandes en 1996. C’est au tour de la cour d’appel de Paris de confirmer le premier jugement. Celle-ci considère que les époux n’ont pas apporté la preuve de leur apport créatif.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Jacques Villeglé conforté par la justice
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°502 du 25 mai 2018, avec le titre suivant : Jacques Villeglé conforté par la justice