Décidément, le salon fondé par Stéphane Corréard, dont la deuxième édition se tient les 9 et 10 décembre au Carreau du Temple à Paris, ne fait rien comme les autres. Se présentant comme une « communauté engagée », Galeristes a confié les clés de sa sélection d’exposants à huit collectionneurs (plus un galeriste et un artiste), quand les autres foires privilégient la cooptation. Ouverte, la scénographie veut favoriser les rencontres entre les galeries françaises (que le salon défend) et les acquéreurs autour de l’art. Son ambition : remettre les collectionneurs au centre du marché et en initier de nouveaux grâce à une sélection d’œuvres à moins de 1 000 euros. « Attention, il n’y en aura pas pour tout le monde ! », prévient déjà le fondateur (galeristes.fr).
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Galeristes, salon à part
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°707 du 1 décembre 2017, avec le titre suivant : Galeristes, salon à part