En 2013, le PAD s’était achevé sur une note très positive avec une édition bien équilibrée, un public en croissance (40 000 visiteurs) et de beaux résultats commerciaux.
C’est forte de ce succès, mené sous la houlette de Patrick Perrin, que la foire rouvre ses portes du 27 au 30 mars au jardin des Tuileries. Pour cette 18e édition, la foire conserve les fondamentaux qui avaient permis de la remettre dans la course l’an dernier : une sélection restreinte d’une soixantaine de galeries, recentrées sur les arts décoratifs du XXe, avec une ouverture vers les arts premiers, les objets de curiosité, le design, la joaillerie ou la céramique contemporains. 2014 promet d’être une année importante pour le PAD qui peaufine son arrivée à Los Angeles pour ce printemps. Parmi les nouvelles galeries accueillies à Paris, on recense Romain Torri ou Fitzgerald Fine Arts tandis qu’Édouard Demachy ou En attendant les barbares font leur retour. Au cœur de la foire, les arts décoratifs couvrent un large spectre historique : la fin du XIXe avec Atelier DL (voir l’exceptionnel vase noir Baccarat de 1880), les années 1920-1930, avec Alain Marcelpoil et sa sélection de pièces d’André Sornay, les années 1950 avec Matthieu Richard ou Alexandre Guillemain (Jacques Adnet ou Jean Royère) ou encore les années 1980 avec En attendant les barbares et son ensemble de Garouste et Bonetti. Quant au design contemporain, il est bien représenté chez Maria Wettergren, spécialisée dans la création scandinave (Eske Rex ou Ilkka Suppanen) ou chez Carpenters Work-shop Gallery (Maarten Baas ou Stuart Haygarth).
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Le PAD poursuit sur sa lignée
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Abonnez-vous dès 1 €Du 27 au 30 mars 2014, jardin des Tuileries, Paris-1er
www.pad-fairs.com
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°666 du 1 mars 2014, avec le titre suivant : Le PAD poursuit sur sa lignée