Dossier
Comment Bâle, qui n’est pourtant pas une capitale économique comme New York ni même une capitale du marché de l’art, peut-elle ainsi abriter la plus grande foire d’art contemporain au monde ?
Plusieurs raisons sont régulièrement avancées, mais il en est une qui prime sur les autres : la qualité de l’organisation. Cela semble naturel dans un pays réputé pour sa ponctualité et sa rigueur, mais cela mérite d’être rappelé. D’un bout à l’autre de la chaîne, de l’attribution des stands à l’accueil des visiteurs, tout fonctionne parfaitement avec l’immense avantage d’une expérience de plus de quarante ans. Les changements sont décidés et exécutés avec précaution, rassurant les uns et les autres. La même exigence prévaut dans le choix des galeries, des œuvres exposées et des visites proposées aux VIP. Bale est une foire de riches, de très riches mêmes qui apprécient avant tout le professionnalisme imprégnant tous les rouages de la manifestation. Un exemple que de nombreux organisateurs de foires devraient méditer.
Entretien
Par Henri-François Debailleux · Le Journal des Arts
Dossier
Dossier
De nombreux musées et lieux culturels célèbrent à leur façon les Jeux Olympiques en organisant de
Recevez quotidiennement l'essentiel de l'actualité de l'art et de son marché.
Le Journal des Arts
10 livres à emporter à la plage
Vif débat en Espagne sur la non-gratuité des cathédrales
Un artiste condamné pour ses tableaux « érotiques » de Tintin
Jocelyn Wolff : « Les galeries s’adressent désormais à une base de collectionneurs mondialisée »
Pendant les JO, certaines galeries jouent le jeu, d’autres pas
L'ŒIL
Quand le jardin se fait œuvre
Amélie Lavin : « Retrouver un lien plus direct, plus nourrissant avec la nature »
Réservations en ligne dans les musées parisiens : mode d’emploi
La véritable histoire des « Monuments Men »
Du côté de chez Proust : la maison de tante Léonie
Pierrick Sorin, illusion et désillusions