Montréal. Remerciée sans ménagement en 2020 de la direction du Musée des beaux-arts qu’elle occupait depuis 2007, Nathalie Bondil avait assigné en justice son ex-employeur pour les atteintes à son honneur et à sa réputation, et réclamait 1,4 million d’euros de dommages et intérêts.
On ne connaît pas le montant versé par le musée dans l’accord transactionnel que les deux parties ont signé, mais celui-ci indique que Mme Bondil « n’était pas visée personnellement par quelque allégation de harcèlement », et que le musée « ne remettait pas en cause son professionnalisme et son engagement profond et sincère envers le musée ». De son côté, Nathalie Bondil, nommée depuis directrice du musée et des expositions de l’Institut du monde arabe, indique « avoir été profondément blessée » mais remercie le musée « pour toutes ces années Extraordinaires ».
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Accord transactionnel entre Nathalie Bondil et le Musée des beaux-arts de Montréal
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Cet article a été publié dans Le Journal des Arts
n°582 du 4 février 2022, avec le titre suivant : Accord transactionnel entre Nathalie Bondil et le Musée des beaux-arts de Montréal