SYMBOLIQUE - Teinte après teinte, Michel Pastoureau poursuit inlassablement l’entreprise commencée en 2002 de publier au Seuil une encyclopédie de l’histoire des couleurs.
Après le bleu (2000), le noir (2008) et le vert (2013), l’historien a donc rendu sa copie consacrée au rouge. Si l’éditeur a judicieusement dépoussiéré sa mise en page – sans toutefois toucher au format –, la formule, elle, ne change pas. Pastoureau brosse l’histoire sociale et culturelle du rouge, qui fut « pendant de longs millénaires […] en Occident la seule couleur digne de ce nom », des parois de la grotte Chauvet à nos jours. L’historien ne rougira pas en apprenant qu’il n’a rien perdu de son immense culture ni de son aptitude à la transmettre.
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Rouge sur rouge, rien ne bouge
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Cet article a été publié dans L'ŒIL n°697 du 1 janvier 2017, avec le titre suivant : Rouge sur rouge, rien ne bouge