Photographie - « C’est ce que j’aime : la différence, le caractère unique de toute chose et l’importance de la vie… Je vois quelque chose qui semble merveilleux ; je vois le divin dans des choses ordinaires. »
Les archives de Diane Arbus ont été offertes en 2007 au Metropolitan Museum de New York. L’inventaire de celles-ci effectué depuis lors a permis une meilleure connaissance de ses premières années de photographe, notamment de 1956 à 1962. Un nouveau corpus d’images a ressurgi, complétant les photographies déjà célèbres de l’artiste. Il permet de voir que ses thèmes de prédilection (la rue, le cirque, les gens ordinaires saisis dans leur quotidien ou les laissés-pour-compte) étaient déjà en germe dans ses premiers travaux. La Martinière publie les dernières découvertes autour de cette photographe hors norme, complétées des notes autour de ses archives et illustrées de nombreux inédits.
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Les premières années d’Arbus
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Abonnez-vous dès 1 €Jeff L. Rosenheim, Diane Arbus au commencement : 1956-1962, La Martinière, 272 p., 55 €
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°696 du 1 décembre 2016, avec le titre suivant : Les premières années d’Arbus