Le photographe revient dans sa galerie parisienne pour présenter ses derniers travaux réalisés dans la continuité d’Atlas, film commencé en 2013 et dans lequel il est de nouveau question des obsessions de l’artiste : le sexe, les prostitués, la drogue.
Dans ses photographies réalisées en 2016, d’Agata reprend le système de la chronophotographie du XIXe siècle sans pour autant renier l’esthétisme qui fait aujourd’hui sa marque de fabrique. Mais cette fois, il ne s’agit pas pour lui de capter un homme qui marche ou un cheval au galop, mais, par exemple, une femme se masturbant afin « d’enregistrer l’intensité de l’événement » (Selva, 2016), et, finalement, de tenter d’arrêter le temps de cette vie qui se consume. Compter, selon le format, entre 5 000 et 14 000 euros pour une photographie dans une édition de 10 exemplaires.
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Antoine d’Agata - Galerie Les Filles du Calvaire
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Abonnez-vous dès 1 €Galerie Les Filles du Calvaire, 17, rue des Filles-du-Calvaire, Paris-3e, www.fillesducalvaire.com
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°695 du 1 novembre 2016, avec le titre suivant : Antoine d’Agata - Galerie Les Filles du Calvaire