Armées de postiches pileux, The Guerrilla Girls, collectif américain fondé en 1985, et La Barbe, groupe d’actions féministes, partent en guerre pour sauver le monde de l’art du sexisme et du racisme.
Ces bad girls précisant que leurs accessoires comiques permettent « de dédramatiser une situation pourtant précaire, celle de la représentation des artistes femmes dans les institutions muséales qui stagne à environ 11 %, ainsi que celle des artistes de couleur qui est encore plus ridicule. »
Aux outils de leur combat exposés (photographies, posters et tracts), s’ajoute la publication inédite, chez mfc-michèle didier, de l’ouvrage The Hysterical Herstory of Hysteria and How It Was Cured par The Guerrilla Girls. Les prix vont de 35 euros pour l’édition de la galerie à 2 500 euros pour la grande bannière historique Disturbing The Piece des Guerrilla Girls.
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The Guerrilla Girls - Galerie mfc-michèle didier
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Abonnez-vous dès 1 €mfc-michèle didier, 66, rue Notre-Dame-de-Nazareth, Paris-3e, www.micheledidier.com
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°695 du 1 novembre 2016, avec le titre suivant : The Guerrilla Girls - Galerie mfc-michèle didier