Le Retable d’Issenheim a été achevé en 1516. Si Otto Dix (1891-1969) a pu admirer ces panneaux en 1945 lors de son incarcération à Colmar, il s’en est inspiré tout au long de sa carrière.
À travers une centaine d’œuvres, la première exposition monographique du nouveau Musée Unterlinden illustre la relation étroite entre le peintre « dégénéré » et le chef-d’œuvre de Grünewald. Le parcours chrono-thématique montre ces références persistantes qui se retrouvent dans la technique et les sujets choisis par l’artiste.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Otto Dix et le Retable d’Issenheim
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°693 du 1 septembre 2016, avec le titre suivant : Otto Dix et le Retable d’Issenheim