Après Philippe Parreno en 2013, le Palais de Tokyo donne carte blanche à l’artiste anglo-allemand pour investir et réinventer son espace dédié à l’art contemporain de 13 000 m².
Son art « immatériel » s’appuie sur les interactions sociales des visiteurs qui participent à son œuvre. Aucun objet ne sera présenté et aucune trace de son travail ne subsistera dans cette exposition où le seul moyen d’admirer les œuvres sera encore de s’y rendre…
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Tino Sehgal au palais de Tokyo
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°693 du 1 septembre 2016, avec le titre suivant : Tino Sehgal au palais de Tokyo