Les Shadoks pointent le bout de leur bec sur le petit écran le 29 avril 1968. Six jours plus tard, des barricades surgissent au Quartier latin. L’ORTF est en grève le 17 mai, les Shadoks ne réapparaîtront qu’en septembre. Des documents originaux (dessins préparatoires, story-boards, celluloïds) créés par Jacques Roussel, le très discret inventeur de ces stupides créatures, un salon de musique Shadok, des cabines de projections… le tout confronté à des œuvres d’artistes contemporains, portent un regard savoureux sur cette roborative épopée.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Les Shadoks
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Musée international de arts modestes, 23, quai Maréchal-de-Lattre-de-Tassigny, Sète (34), www.miam.org
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°692 du 1 juillet 2016, avec le titre suivant : Les Shadoks