Inscrite au programme d’une trilogie autour de la notion d’écriture, qui compte par ailleurs Alain Fleischer et Daniel Nadaud, l’exposition de Gérard Titus-Carmel met en exergue la dimension scripturale de sa démarche. Tout à la fois peintre et poète, il développe une œuvre polymorphe, peinte et gravée, qui joue du geste, de la trace et du rythme et se décline à l’ordre de variations, de collages et de montages. Ses paysages, végétaux et empreintes balancent entre figuration et abstraction, au bénéfice exclusif de la peinture.
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Titus-Carmel, Peindre, écrire
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Cet article a été publié dans L'ŒIL n°692 du 1 juillet 2016, avec le titre suivant : Titus-Carmel, Peindre, écrire