Pour la première fois, une exposition présente à Paris deux cent trente œuvres d’Eugène Gabritschevsky. Issu de la grande bourgeoisie russe, il fait de brillantes études scientifiques avant de quitter l’Union soviétique en 1924 pour travailler dans un laboratoire à l’université de Columbia (USA). Sujet à des troubles psychiques, il quitte son travail et rejoint son frère à Munich en 1926. Il est définitivement interné en 1931. Ses dessins au fusain et ses peintures sombres ou vivement colorées font ressurgir un monde inclassable d’une ineffable présence.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Eugène Gabritschevsky (1893-1979)
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €La Maison rouge, Fondation Antoine de Galbert, 10, bd de la Bastille, Paris-12e, www.lamaisonrouge.org
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°692 du 1 juillet 2016, avec le titre suivant : Eugène Gabritschevsky (1893-1979)