Décoration - « Ceux qui connaissent et qui aiment le travail d’Éric Schmitt […], ses pièces de mobilier, ses vases ou ses luminaires n’ont pas besoin de mots, ils ont vu, ils ont aimé, ils savent. »
Sans doute cette phrase de Pierre Doze préside-t-elle au choix d’évacuer le texte critique à la fin du livre, les deux premiers tiers de l’ouvrage étant dédiés aux créations du décorateur. Un principe qui souligne la cohérence du travail de Schmitt, de 1994 à 2015, qui se définit ni par le design ni par la sculpture, mais comme un créateur discret au point de se sentir parfois « intrus », « complètement à part dans [sa] profession ». L’ouvrage se termine par un catalogue raisonné, bienvenu dans une monographie.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Un décorateur « à part » entière
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Éric Schmitt, texte de Pierre Doze, 316 p., 55 €.
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°687 du 1 février 2016, avec le titre suivant : Un décorateur « à part » entière