Pour sa 3e exposition thématique, Sabrina Uzan-Kaminski, qui a repris la galerie de son père, plonge dans l’univers des superstitions et s’adresse aux amateurs d’objets porte-bonheur, amulettes, talismans et grigris. Depuis la nuit des temps, les hommes accordent à ces objets des vertus de protection ou qui portent chance. Parmi la trentaine d’objets présentés, de toutes époques et civilisations, avec une large gamme de prix entre 600 à 150 000 euros, figurent notamment un pendentif Foulet Hamsa (Maroc), dérivé de la main de Fatma, et un phallus en corail (Empire romain, Ier-IIe siècle). Avis aux superstitieux !
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Les porte-bonheur de l’Antiquité
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Abonnez-vous dès 1 €Galerie Samarcande, 13, rue des Saints-Pères, Paris-6e, www.galerie-samarcande.fr
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°686 du 1 janvier 2016, avec le titre suivant : Les porte-bonheur de l’Antiquité