De la trilogie Rubens, Van Dyck et Jordaens, il est probablement celui que l’on connaît le moins. Trop classique sans doute. Et pourtant, s’il ne s’est pas illustré par ses voyages, à la différence de ses deux contemporains – il a vécu à Anvers –, Jordaens a dépassé de quarante ans Rubens et laissé une grande œuvre de peinture, puissante, qui a su prendre le meilleur des tendances de l’époque (le caravagisme) en trouvant sa propre voie. Par cette exposition, l’une des rares sur l’art ancien dans la capitale en cette rentrée, le Petit Palais ambitionne donc de montrer un autre Jordaens à travers plus de 120 œuvres, avec quelques morceaux de génie, comme un superbe Amour mal assorti puisé dans la collection du prince de Liechtenstein.
Du 19 septembre 2013 au 19 janvier 2014.
Petit Palais, avenue Winston-Churchill, Paris-8e, www.petitpalais.paris.fr
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Jordaens pas si classique
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°660 du 1 septembre 2013, avec le titre suivant : Jordaens pas si classique