ROMAN HISTORIQUE. Décembre 1545, la première séance du concile, destiné à réformer l’Église catholique attaquée par la réforme protestante et par les dérives d’un clergé plus enclin aux plaisirs terrestres qu’à la morale, se tient dans la ville de Trente.
Cette même année, Titien, le « cynique » vénitien, se rend à Rome auprès des Farnèse pour asseoir le pouvoir de la famille papale autant que le sien. Non loin de lui, le « dieu » Michel-Ange installe ses sculptures « hérétiques » sur le tombeau de Jules II tout en exécutant les fresques de la chapelle Pauline du Vatican. Dans un récit vivant, Antonio Forcellino, spécialiste de la Renaissance, reconstitue cette année d’intrigues et de luttes d’influence qui fera basculer le monde chrétien vers plus de discipline. Un éloge de la liberté de création dans un roman « vrai ».
Antonio Forcellino, 1545 : les derniers jours de la Renaissance, Seuil, 288 p., 22 €.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Antonio Forcellino, 1545 : les derniers jours de la Renaissance
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°659 du 1 juillet 2013, avec le titre suivant : Antonio Forcellino, 1545 : les derniers jours de la Renaissance