PARIS - Son discours aura duré moins de dix minutes, Rue de Valois, vendredi 18 avril. Donnant un exemple immédiat d’efficacité, Fleur Pellerin a lancé ses Assises de la jeune création, concertation éclair dont elle attend des conclusions dès la mi-juin.
Ce projet, né il y a quelques semaines, consiste en douze réunions de travail, dans des lieux emblématiques de la jeune création partout en France, où des artistes choisis pour leur « avant-gardisme » devront animer et enrichir les questionnements du ministère sur l’avenir du soutien à la création. Les six groupes de travail portent sur des thématiques transversales : diversité, formation, repérage, mobilités, insertion et solidarités, et transversalités. En contournant les interlocuteurs habituels (grands opérateurs, lobbies, syndicats) par des rencontres plus informelles, la ministre cherche sans doute à se donner quelque nouveau souffle avant d’aborder les deux dossiers important de la rentrée 2015 : les intermittents et la loi sur la création, l’architecture et le patrimoine.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Des « Assises de la jeune création » en vitesse accelérée
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°434 du 24 avril 2015, avec le titre suivant : Des « Assises de la jeune création » en vitesse accelérée