PONTOISE - L’association Halte au pillage du patrimoine archéologique et historique (HAPPAH) a dénoncé à nouveau l’utilisation des détecteurs de métaux dans le cadre de fouilles archéologiques lors d’une conférence le 22 janvier.
Les « pilleurs de loisirs » seraient 10 000 sur le territoire pour une moyenne de 520 000 objets pillés par an. En France, l’utilisation de ces détecteurs dans un but archéologique exige une double autorisation de l’État et du propriétaire du terrain. Alors qu’en Irlande et au Portugal, l’obtention de licences spécifiques est obligatoire, le Conseil national de la recherche archéologique (CNRA) préconisait, en 2011, un contrôle renforcé via immatriculation et autorisation d’utilisation.
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520 000 objets archéologiques pillés
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°406 du 31 janvier 2014, avec le titre suivant : 520 000 objets archéologiques pillés